Le jeune Danny Farell est livreur de journaux depuis seulement six mois pourtant en si peu de temps il est devenu l'ennemi de toutes les femmes de Wisteria Lane: il jette le journal de Gabrielle dans la flaque d'eau, dans les roses tout juste plantées par Bree, sur le chat d'Ida Greenberg, échappe celui de Susan en plein milieu de la route, bref une vraie calamité ! En sortant de sa maison pour le récupérer, Susan a la malheureuse surprise de découvrir Karl, son ex-mari, sortant à moitié nu de la maison d'Edie. Elle va directement à son encontre pour savoir ce qu'il y fait. Karl avoue avoir passé la nuit avec Edie. Susan lui interdit de la revoir ce à quoi Karl réplique qu'elle n'a rien à lui interdire puisqu'ils sont divorcés, qu'il est libre de sortir avec qui il veut. Susan est surtout furieuse que ce soit avec Edie et que ça se passe dans la même rue où elle vit. En rentrant chez elle, pieds nus, Susan se fait aborder par Danny qui exige qu'elle paye les journaux en retard. Susan lui indique qu'elle s'en occupera plus tard mais le jeune garçon la traite de voleuse. Furieuse, Susan jette son journal sur le garçon en vélo, le journal attérit sur la roue arrière et fait tomber Danny de vélo. Confuse, Susan est toutefois félicitée par Ida qui n'attendait que ça ! Après tout, l'enneni de notre ennemi est notre ami !

Les belles pelouses, les maisons spacieuses, les familles heureuses. Ce sont les marques de la banlieue américaine par excellence. Mais si on regarde au-delà de ces marques, on peut voir que tout n'est pas si simple. La vie est parfois une vraie bataille. Pour Lynette par exemple, qui a reprit le travail et qui ne supporte plus de vivre dans une porcherie. En effet, depuis que Tom s'occupe de la maison, la vaisselle n'est jamais faite. Tom remettant toujours tout au lendemain avec son système: tous les deux jours, il lave! Il laisse tout s'accumuler ce qui déplait à Lynette qui lorsqu'elle était à la maison et que Tom rentrait du travail, tout était propre et rangé. Lynette tue même une mouche sur la table de la cuisine avec le journal du jour.

Bree et Phyllis Van de Kamp sont au pressing pour récupérer des vêtements de Rex. Phyllis se plaint de l'attente à cause du gérant qui discute trop longuement à son gout avec d'autres clients. Bree lui indique qu'elles n'attendent que depuis deux minutes mais Phyllis a faim et aimerait bien aller manger.
Phyllis: - Tu veux me voir m'écrouler?
Bree: - Non... en théorie...
Mr Pashmutt, le gérant, fait ses condoléances à Bree et lui indique que Rex était un de ses plus fidèles clients. Bree le remercie mais Mr Pachmutt insiste, il n'est pas que poli, il pense vraiment ce qu'il dit et lui demande comment elle va. Bree s'apprête à lui répondre que tout va bien lorsque Phyllis la coupe, prend son air apitoyée et indique au gérant qu'elles essayent de tenir le coup du mieux qu'elles peuvent malgré la circonstance. D'autres clients arrivent. Phyllis se met à s'étendre sur sa peine, celle qu'une mère ressent lorsqu'elle perd un enfant ce qui met Bree mal à l'aise. Elle essaye de tirer Phyllis par le bras vers la sortie mais la vieille femme prend un malin plaisir à se confier à des inconnus. Elle profite de la situation pour se faire consoler par eux et éclater en sanglots en répétant que sa vie est finie. Bree est furax.

Gabrielle n'ayant pas l'autorisation de signer les chèques du ménage, elle est obligée de venir tous les jours en prison les faire signer à Carlos et aimerait pouvoir les signer elle-même. Mais pour Carlos, c'est la seule façon d'être certain qu'elle vienne lui rendre visite.
Gabrielle: - C'est ridicule. Tu es mon mari. Je t'aime. Evidemment que je viendrais te rendre visite.
Carlos: - Tout comme c'est évident que lorsqu'on aime quelqu'un, on le trompe !
Gabrielle est fatiguée de ses reproches et aimerait que Carlos lui pardonne sa faute.
Carlos: - Tu veux mon pardon? Je te le donne. Ma confiance? Tu ne la mérites pas!
Gabrielle le menace d'aller voir ailleurs, Carlos la menace de lui couper les vivres.
Gabrielle : - Pourquoi tous les hommes riches sont toujours des porcs?
Carlos: - Pour la même raison que les belles femmes sont toutes des garces !
Gabrielle se lève, embrasse Carlos sur la bouche et s'en va avec les chèques signés.

Susan discute avec Julie de la relation entre Karl et Edie. Susan pense qu'il ne s'agit que d'un coup d'un soir mais Julie en sait bien plus qu'elle: Karl et Edie sortent ensemble depuis plusieurs mois. Julie ne lui avait rien dit jusque là par respect de la vie privée et parce qu'elle savait que ça la rendrait folle de rage. Susan pense que c'est Edie qui a couru après Karl mais Julie lui révèle que c'est le contraire, c'est Karl qui a demandé à Edie de sortir avec lui. ça date depuis la soirée d'anniversaire de Julie au piano-bar. 

Chez les Applewhite, la personne enchaînée dans la cave tente de faire le maximum de bruit possible avec ses chaînes certainement dans le but d'alerter le voisinage. Mais Betty et Matthew continuent de dîner malgré le bruit assourdissant. Ce qui agace sérieusement Matthew, Betty lui indique que c'est justement ce qu'il cherche à faire. Il finit par se lever, et du haut des escaliers menant àla cave hurle sur l'homme pour qu'il cesse ce bruit. Betty ramène son fils à la raison.
Betty : - Tu sais que tu ne dois pas lui parler. ça fait partie de sa punition.
Matthew: - Comment va t-on tenir le coup, heure par heure, à écouter ça ?
Betty: - ça fait partie de ma punition...

Carlos a fait venir Gabrielle d'urgence à la prison. Il semble embêté.
Carlos: - Je suis complètement flippé! 
Carlos explique à Gabi que son co-détenu Ritchie le menace et l'effraie. Il menace de le battre s'il ne lui donne pas de l'argent.
Carlos: - Il réclame 7000 dollars.
Gabrielle: - 7000 dollars ?? Comment sait-il que tu as autant d'argent ?
Carlos: - Parce qu'hier, en me rendant visite parmi un tas de prisonniers, ma femme a dit que j'étais un homme riche. Tu vas apporter cet argent à sa petite amie sinon je suis foutu !
Gabrielle : - C'est une erreur de rentrer dans son jeu d'extorsion. ll va continuer à réclamer plus d'argent.
Carlos : - est-ce que j'ai d'autre choix?
Gabrielle: - Tu es un homme fort, tu as été à l'université pour l'amour de Dieu !

Mike passe voir Susan pour chercher le restant de ses affaires mais surtout pour savoir où ils en sont dans leur relation. Depuis qu'elle sait que le garçon qui l'a retenue en otage est son fils, Susan ne sait plus où sa relation avec Mike peut mener. Mais elle reste folle de lui et désire continuer à faire des choses et d'autres avec lui. Mike lui demande ce qu'elle entend par "des choses et d'autres". Susan suggère aller au cinéma, faire du footing ensemble, faire du shopping... Mike l'embrasse et souhaite que faire l'amour soit aussi une chose et une autre dans la liste. Susan le repousse...
Susan: - Brunch !!! Brunch ça peut être sympa.
Déçu, Mike prend ses affaires et s'en va.

Lorsqu'elle descent les escaliers, et trouve Phyllis au téléphone, pleurant sur la mort de son fils. Elle remercie la personne d'avoir appelé et raccroche. Bree lui demande qui c'était. Phyllis indique que c'était une personne nommée Allen...
Bree: - Mon électricien? Pourquoi vous pleuriez au téléphone avec mon électricien?
Phyllis: - Oh, il voulait te présenter ses condoléances.
Bree: - Pourquoi ne pas me l'avoir passé?
Phyllis: - Parce qu'on a commencé à discuter mais il devait partir. Il avait des choses magnifiques à dire au sujet de Rex.
Phyllis continue de pleurer comme une fontaine.
Bree: - Arrêtez de pleurer Phyllis, vous allez vous déshydrater.
Phyllis: - Etes-vous en train de dire que je suis trop émotive?
Bree: - Ce que je veux dire c'est que même les veuves italiennes font une pause
Phyllis: - Mon fils est mort! Je porte le deuil !!
Bree: - Moi aussi !! Mais personne ne s'en rend compte parce que vous êtes toujours en train de geindre!! Les gens veulent savoir comment je vais et à la minute où ils me le demandent, vous sautez sur eux en pleurant et ils m'oublient. J'ai aussi besoin d'être consolée, Phyllis. Y avez-vous pensé?
Phyllis: - Je suis désolée. ça n'arrivera plus. Mais si seulement vous ne réprimeriez pas constamment vos émotions... les gens n'oublieraient peut-être pas de vous consoler ! Vous êtes stoïque au point d'en être froide.
Bree: - Je ne suis pas froide! Je n'aime simplement pas embarasser les gens avec mes émotions.
Phyllis: - C'est bien, mais les gens se demandent pourquoi ils ne vous ont jamais vue pleurer. En fait, certaines personnes se demandent même si vous regrettez vraiment Rex.
Bree: - Des gens ont dit ça?
Phyllis: - Quelques uns, oui.

Gabrielle se rend dans une banlieue pauvre de la ville avec sa maserati, ce qui détonne totalement avec le paysage. Elle frappe à la porte d'une maison toute défraîchie et demande à voir Rita Rivera, une jeune femme aux formes généreuses.
Gabrielle: - Bonjour, je suis Gabrielle Solis. Nous maris sont co-locataires en prison.
Rita: - Ritchie et moi ne sommes pas mariés.
Gabrielle lui tend l'enveloppe contenant l'argent que Ritchie a demandé à Carlos.
Gabrielle: - Tout est là. 7000 dollars.
Folle de rage, Rita balance l'enveloppe contenant l'argent en insultant son mec de "fils de pute". Les billets tombent par terre. Une dame assise juste à côté en pleine séance d'épluchage les regarde avec l'oeil avide.
Gabrielle: - N'y pensez même pas !!
Gabi les ramasse à toute vitesse, rapelle Rita en lui demandant quel est le problème. Rita lui reprend l'enveloppe des mains.
Rita: - Je peux vous poser une question? Elle peut sembler un peu bizarre... Qu'est-ce que vous pensez de mes seins?
Gabrielle: - Excusez-moi?
Rita: - Je veux dire comment vous paraissent-ils?
Gabrielle: - Ils sont... bien...
Rita: - Merci. Je les aime aussi. 
Gabrielle: - Vous avez raison. C'était bizarre.
Rita lui indique alors la raison de cet argent: Ritchie est obsédé par les grosses poitrines et veut qu'elle se les fasse refaire. Gabi essaie alors de convaincre la jeune femme que c'est son corps, et qu'à sa place, elle ne laisserait personne décider à sa place.
Rita: - Si je le fais pas, il va me quitter.

Gabrielle: - Chérie, il est en prison. Vous voulez qu'il aille où? Dites-lui que vous n'avez pas besoin de chirurgie.
Rita: - Vous avez raison.
Gabrielle lui reprend l'enveloppe des mains.
Gabrielle: - Je suis si fière de vous!!

Lynette rentre exténuée de sa journée de travail. C'est alors qu'elle découvre que Tom n'a absolument rien rangé et encore moins néttoyé. La maison est en désordre le plus total. Une vraie porcherie. Elle monte se coucher encore plus exténuée car elle a passé une heure à faire la vaisselle. Lynette en veut à Tom de ne pas s'occuper convenablement de la maison et de lui laisser tout le boulot lorsqu'elle rentre d'une journée harrassante au bureau. Lorsqu'elle s'allonge, Lynette a la désagréable surprise de tomber sur de la bave de Penny sur les draps. Lynette exige qu'ils changent les draps. Tom se met à crier, ne souhaitant pas changer les draps si tard. Il lui reproche de toujours vouloir tout contrôler, même à la maison. Lynette lui reproche d'être trop fénéant pour changer des draps sales. Il dit à Lynette qu'elle ne gagnera pas cette fois-ci et lui demande de remonter dans le lit et de dormir. Furieuse, Lynette jette la couverture, arrache le drap de force pour faire tomber Tom du lit et changer ces draps. Tom se défend tant bien que mal, et Lynette finit par prendre un coussin et aller se coucher sur le canapé en bas au salon. Mais elle ne trouve pas le sommeil. Alors elle allume la télé et tombe sur un film d'horreur dans lequel des rats envahissent une maison et attaquent les personnes.

Le lendemain matin, Lynette rentre en catimi avec une boite à la main, s'assure qu'il n'y a personne au salon, et ouvre la boîte laissant s'échapper un rat qu'elle vient d'acheter pour se venger de Tom.

Betty se gare devant chez elle et s'apprête à rentrer lorsque Susan l'interpelle. Elle lui demande s'ils font des travaux en ce moment chez elle parce que, travaillant à la maison, elle n'arrête pas d'entendre un bruit bizarre et peine à se concentrer sur son travail. 
Betty: - Je n'ai rien remarqué.
Susan: - Vraiment? Parce qu'on dirait que le bruit provient de chez vous. Comme "cling cling" (imitant le son qu'elle entend)
C'est alors que le bruit recommence à ce moment précis.
Susan: - Ah vous entendez là??!!
Betty prétend alors que c'est Matthew qui fait quelques bricolages dans la maison et qu'elle n'y fait plus attention par habitude.
Susan: - Même à deux heures du matin?
Betty: - Oh je suis désolée. Matthew n'a aucune excuse. Je lui parlerai.
Pile lorsqu'elle dit cette phrase, Matthew arrive dans la rue juste derrière elle, ce qui signifie que ça ne peut pas être Matthew qui fait ce bruit dans la maison...

Matthew: - Bonjour Madame Mayer.
Susan : - (surprise) Bonjour... Matthew...
Betty ne sait plus quoi inventer alors...
Betty: - Bon... C'était sympa de papoter avec vous...
Susan comprend évidemment qu'il y a quelque chose de pas net là-dessous.

Bree et Phyllis sont au restaurant. Bree laisse un troisième message à Mr Flannery, l'assureur chargé de leur dossier.
Bree: - Si vous ne me rappelez pas très vite, je sens que je vais être irritée.
Bree est furieuse car l'assurance met du temps à payer l'assurance vie que Rex avait contracté
Phyllis: - Quand quelqu'un meurt si subitement, ça apporte forcément beaucoup de questions... C'est probablement plus simple quand les gens ont une maladie.
C'est alors que Lynette vient à leur encontre. Elle demande à Bree comment elle va
Bree: - Je vais bien.
C'est alors que Phyllis remet ça, et se met à éclater en sanglots pour attirer l'attention sur elle. Mais Lynette souhaite consoler son amie Bree en lui disant qu'elle est magnifique.
Lynette: - Je n'imagine pas ce que tu es en train de vivre
Phyllis continue de geindre, se forçant à faire monter les larmes, ce qui exaspère vraiment Bree.
Bree: - Phyllis? Il va falloir arrêter ça.
Phyllis: - Je n'y arrive pas. Quand les gens parlent de Rex, je deviens trop émotive.
Lynette se tourne alors du côté de Phyllis et lui dit qu'elle est désolée pour elle aussi, tentant de la réconforter.
Phyllis: - Je ne sais pas ce que je vais devenir sans lui.
Lynette: - Je suis vraiment désolée...
Phyllis s'agrippe au bras de Lynette et éclate en mille sanglots sous les yeux contrits de Bree.
Lynette: - Est-ce que ça va aller??
Bree: - Oui! Bien sur ! Attend voir une seconde...
Bree se lève de sa place, se dirige vers Phyllis, relève sa tête avec sa main et de l'autre lui colle une giffle monumentale !!! Ce qui la calme instantanément. Bree retourne s'assoir.
Bree: - Et voilà! ça va mieux? Lynette, tu disais? C'était vraiment gentil de ta part de t'arrêter.
Lynette part estomaquée. Bree prend le menu
Bree: - Alors? Je peux commander ou vous avez besoin d'encore un peu de temps?

Le médecin qui connait Bree et Rex depuis 20 ans est embêté. il confie à Monsieur Flannery, l'assureur, qu'il a toujours pensé qu'ils formaient un couple heureux mais il lui montre la note que Rex a laissée avant de trépasser sur laquelle il est écrit: "Bree, je comprend et je te pardonne", ce qui les rend tous deux perplexes.

Bree s'occupe de son jardin lorsque la voiture de George se gare. Il descend de son véhicule et se dirige vers la jeune femme qui lui demande ce qu'il vient faire ici.
George: - Je suis venu vous kidnapper. Prenez votre sac, je vous emmène au bowling.
Il lui indique qu'ils peuvent tout aussi bien aller au cinéma, faire du yoga, ou ce qu'elle veut. Mais Bree ne peut pas. George indique qu'elle n'est allée nulle part depuis des semaines et souhaite la divertir un peu.
Bree: - Je ne suis pas encore prête.
Elle le remercie de sa compréhension et George la prend dans ses bras en souriant machiavéliquement. Bree ne se rend pas compte que de la fenêtre du premier étage, Phyllis les regarde s'enlacer.

En prison, Gabrielle est choquée de retrouver son Carlos le visage couvert de bleus. Ritchie l'a frappé parce que Gabrielle n'a pas donné l'argent à Rita. Gabi prétexte que c'était pour qu'elle refasse sa poitrine, qu'elle n'en avait pas besoin. Ce à quoi Carlos rétorque que tous deux se fichent pas mal de ce qu'ils voulaient faire de l'argent.
Gabrielle: - Je trouve ça stupide de donner 7000 dollars à quelqu'un qui n'en veut pas!
Carlos exige qu'elle y retourne et qu'elle force Rita à prendre l'argent.
Gabrielle: - Je réalise que Rita et moi on a beaucoup de points communs. Nous sommes toutes deux contrôlées par des hommes idiots qui sont derrière les barreaux. Nous devrions avoir tout le pouvoir.
Carlos: - Je ne veux pas tout le pouvoir. Je veux simplement éviter la morgue!!
Gabrielle accepte à condition d'avoir l'autorisation de signer les chèques.
Gabrielle: - fais attention carlos, tu n'es pas en position de me contredire.

Susan s'apprête à prendre sa voiture lorsqu'Edie, en roller et en tenue rouge flamboyante très courte et très serrée, arrive à sa rencontre.
Edie: - A quel point me détestes-tu? Karl m'a dit que tu savais tout de notre sale petit secret... Je me sens très mal! J'aurais dû te prévenir que je sortais avec ton ex, ça aurait été une chose classe à faire! Je ne pensais pas que quelque chose se passerait entre lui et moi mais pour notre premier rencard, il m'a emmené dans un resto mexicain. Tu sais comment je suis quand je bois de la tequila !! Quelques shooters et mon soutien-gorge tombe tout seul...
Susan n'a pas envie d'entendre Edie, et monte dans sa voiture. Cette dernière n'en a pas fini et s'accroche au pare-brise.
Edie: - Hey je suis en train de t'offrir une opportunité là ! Allez, vas-y, dis-moi à quel point je suis garce. Après tout ce que j'ai dis sur toi, je le mérite! Allez! Balance!
Susan: - A vrai dire, Edie, je m'en fous!
Edie: - Très bien. Je dois te dire alors que dans mon jacuzzi  hier soir, Karl m'a dit que c'était la meilleure partie de jambes en l'air qu'il a jamais eu.
Susan: - Je suis contente que tu me dises ça parce que Karl m'a dit qu'il était toujours amoureux de moi.
Susan démarre et laisse Edie ricaner toute seule. Arrivée au carrefour, un groupe d'écoliers traverse la route ce qui bloque Susan un bon moment. Parfait pour Edie qui la rejoint en roller et la traite de menteuse! Susan lui dit que Karl lui a demandé de se remettre avec lui le lendemain de l'anniversaire de Julie. Susan commence à démarrer, Edie s'accroche à la voiture, voulant l'empecher de partir avant de finir leur mise au point.
Edie: - Tu essayes de déruire mon bonheur!!
Susan: - Pourquoi ça me ferait quelque chose que tu sois avec l'homme que je méprise?
Edie: - Parce que c'est fini entre toi et Mike !! Oui, les choses se savent.
Edie en a finit et repart vers Wisteria Lane. Mais Susan n'en a pas fini. Elle enclanche la marche arrière et brusquement renverse Edie qui était juste derrière!

Plus tard, Karl passe voir Susan chez elle. elle est confuse.
Susan: - C'était un accident Karl. Edie sait que c'était un accident, n'est-ce pas?
Karl: - Elle sait que tu aurais pu la tuer! Elle a simplement des côtes brisés.
Susan: - Je suis vraiment vraiment désolée. J'ai envoyé des roses. Elle a reçu les roses?
Karl: - Ouais! Elle a coupé les têtes par terre
Karl veut savoir pourquoi Susan a révélé à Edie la conversation qu'ils ont eu. Susan a simplement voulu faire mal là où ça pouvait faire mal et qu'elle voulait lui clouer le bec. Susan pense que c'est une histoire de passage entre eux, mais Karl lui avoue qu'il a demandé à Edie de vivre ensemble et elle a dit oui.
Susan: - Donne-moi juste un moment. Je demande à Dieu de me tuer.
Susan a du mal à accuser le coup. Karl tente de lui faire comprendre qu'il se sent bien avec Edie. Elle a du mal à admettre qu'ils emménagent ensemble alors qu'elle-même était censée emménager avec Mike et que ça ne se fait plus. Elle aimerait enfin trouver le bonheur elle aussi. Elle se confie à lui au sujet de sa relation avec Mike.
Susan: - Tu n'as pas répondu à ma question: tu es amorueux d'Edie?
Karl: - Je ne sais pas. Mais je peux te promettre une chose, je n'ai jamais aimé autant une femme que toi!

Le soir, Lynette rentre du travail. Un de ses fils lui saute dessus, terrorisé, en lui disant que papa a trouvé un rat dans la maison! Et lorsqu'elle entre à l'intérieur, Lynette découvre que Tom a tout rangé, tout nettoyé, la maison est nickel! Lynette est heureuse, son plan a fonctionné. Sauf qu'elle avait pas prévu que Tom tue le rat. En sortant les poubelles, elle lui fait ses adieux et le remercie d'avoir sauvé son mariage.

Betty est chez un psychiatre. Elle lui indique que les abus de son mari ont commencé deux ans après leur mariage.
Betty: - ça a commencé si soudainement que je n'ai pas réalisé ce qui se arrivait. Il me gifflait dès qu'il y avait le moindre petit problème. C'est devenu de pire en pire, un jour, il y a huit ans, mon fils a renversé du soda sur sa nouvelle moquette, avant que je puisse le protéger, il a mit mon fils à terre et a commencé à le frapper. Je suis venu pour protéger mon bébé mais je ne suis pas arrivé à temps.
Psychiatre: - Qu'est-il arrivé à votre fils?
Betty: - Il est mort. J'ai retrouvé les photos de mon bébé le week-end dernier. C'est là que les cauchemars sont revenus. Je n'arrive plus à dormir et je suis si fatiguée!!
Psychiatre: - Nous allons essayer les somnifères.
Betty le remercie
Psychiatre: - J'espère sincèrement que votre mari fût puni pour ce qu'il a fait.
Betty: - Oui il a payé son crime. Je m'en suis assurée.

Bree s'apprête à aller voir l'avocat de Rex pour régler quelques détails sur le testament. Mais avant elle présente ses excuses à Phyllis pour l'avoir gifflé, s'excusant d'être dans une étrange position depuis la mort de Rex mais que ça ne justifie pas son geste.
Phyllis: - Pas besoin de vous excuser. Vous êtes de la famille. Vous êtes pardonnée. C'est une période difficile pour nous tous, je comprend totalement. Allez-y, il ne faut pas arriver en retard à votre rendez-vous concernant le testament de Rex.
Mais une fois Bree partie, c'est un tout autre son de cloche. Phyllis téléphone à Mr Flannery, l'assureur vie, et le met au courant que sa belle-fille a un petit ami.

Betty concasse les tranquilisants et les mélange à la soupe préparée pour la personne retenue captive dans sa maison.
Lynette travaille un dossier tandis que Tom fait le ménage.
Gabrielle jubile de pouvoir enfin signer les chèques elle-même.
George raccompagne Bree sur le pas de la porte, elle rit, le touche, sans s'imaginer qu'à quelques mètres, dans une voiture, l'assureur prend des photos... qui peuvent se révéler... compromettantes...



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