Tous ceux qui viennent dîner chez Bree Van de Kamp savent à quel point Bree est la parfaite maîtresse de maison parce que Bree sait prendre soin de ses invités. Alors qu'elle reçoit des amis, le dîner est interrompu par quelqu'un qui chante à tue-tête devant la maison. Bree regarde alors par la fenêtre et découvre George en train de chanter la sérénade au micro et au haut-parleur. Bree sort pour lui demander de partir, mais George persiste à vouloir tout reprendre entre eux, Bree menace d'appeler la police s'il ne part pas. Elle rentre et demande à ses invités de retourner à leurs places tandis qu'elle monte dans sa chambre, sort un fusil de sous son lit, l'arme, ouvre sa fenêtre, pointe son fusil vers George et tire sur sa camionnette.
Mary-Alice: (off) Oui, Bree savait prendre soin de ses invités. Surtout ceux qui n'étaient pas invités.

"Les hommes en blanc représentent souvent les gentils, tandis que ceux en noir représentent les méchants. C'est comme ça que les enfants distinguent le bien du mal. Mais ils apprennent tot ou tard que les hommes en blanc ne sont pas tous forcément les gentils."
C'est à ce moment là qu'arrive George habillé d'un haut blanc, sur son vélo bleu, près de la maison de Bree. Cette dernière en a assez que George la harcèle. George est désespéré, il se dit pret à consulter un thérapeute mais la supplie de lui laisser une seconde chance.
George: - Allons, vous savez que je ne suis pas une personne mauvaise.
Bree: - Je sais, mais je ne suis pas sure que vous êtes une bonne personne non plus.

Au bureau, Lynette démontre sa nouvelle idée de campagne pour la marque Hinterland mais Ed Ferrara, le big boss, ne comprend pas la démarche ce qui fait ricaner Nina. Cette dernière râle en disant qu'à cause de Lynette, toute l'équipe va devoir travailler toute la soirée sur la campagne. C'en est trop pour Lynette qui demande à Nina se cesser ses sarcasmes, qu'elle ne supporte pas sa méchanceté, qu'elle dépasse les bornes et lui indique que toute l'équipe pense la même chose qu'elle à son sujet.
Lynette: - Je parle au nom de tous pour dire qu'on est fatigués de vos abus! Vous nous devez des excuses.
Nina s'amuse de la situation en demandant à chacun des collaborateurs s'ils pensent la même chose. Aucun d'entre eux n'a le cran de dire la vérité et consolident donc Nina dans sa position, ce qui met Lynette de côté. Arrive alors Stu, le strandardiste qui propose des muffins.
Lynette: - Non, Stu! Ces gens ne méritent pas de muffins.

Carlos est de retour à la maison, il vient d'être libéré, à la grand surprise et joie de Gabrielle qui saute dans ses bras. Pour fêtter ça, ils font l'amour.

Susan et Julie se rendent près du magasin tenu par le père biologique de Susan. Cette dernière ne souhaite pas créer une relation avec lui, seulement voir à quoi il ressemble et s'il est quelqu'un de bien. Susan entre alors dans la boutique, le vieil homme, Prudy, qui tient le magasin trouve Susan immédiatement sympathique et lui offre un chapeau de cow-boy en lui indiquant qu'elle est belle comme un coeur. Susan repart du magasin toute folle, heureuse que son père biologique soit un homme gentil.

Au lit, Gabrielle est heureuse d'avoir retrouvé son mari. Elle se lève, regarde les affaires de Carlos et découvre des lettres d'une certaine Soeur Mary-Bernard, une religieuse qui est venue lui rendre visite plusieurs fois en prison. Carlos indique à sa femme qu'il a été une mauvaise personne pendant longtemps mais que grâce à cette religieuse, il apprend enfin à devenir quelqu'un de bon. Carlos est devenu un homme extrêmement croyant, ce qui commence à inquiéter Gabi.
Gabrielle: - Que diable t-ont ils fait dans cette prison ??

Bree, Gabrielle, Lynette, Susan et Edie font une partie de poker ensemble mais Lynette va devoir les abandonner pour retourner travailler en pleine soirée si elle ne veut pas donner satisfaction à Nina. Elle demande si l'une des filles veut bien rééduquer ses enfants pour qu'elle n'ait plus besoin de travailler, Edie rit de bon coeur. Susan a envie de dire à son père biologique qu'elle est sa fille mais ne sait pas comment s'y prendre, elle émet alors l'idée de demander un emploi dans la boutique pour qu'ils apprennent à se connaître, pour qu'un jour il lui dise qu'elle est la fille qu'il a toujours rêvé d'avoir et elle lui dira alors que le rêve est réalité puisqu'elle est vraiment sa fille! Regards consternés entre les filles.
Edie: - C'est le plan le plus idiot que j'ai jamais entendu!
La discussion part alors sur le père, Gabi indique qu'on a tous besoin de l'image forte d'un père, Bree que l'adn ne fait pas que les gens aient des choses en commun. Et Edie qu'elle a grandit sans père et que ça n'a pas affecté sa vie.
Lynette: - Edie, à quel âge as-tu perdu ta virginité?
Edie: - Tu marques un point.

Le soir, après la partie de poker, Lynette se rend au bureau pensant qu'il n'y a plus personne depuis longtemps afin de prendre de l'avance sur le travail. C'est alors qu'elle remarque Stu, en caleçon, courir vers le bureau de Nina des bières à la main. Lynette se rend en catimini jusqu'au bureau de sa patronne et découvre Nina et Stu dans les bras l'un de l'autre, s'apprêtant à faire l'amour. Nina ouvre les yeux et découvre Lynette les espionnant de la porte.

Le lendemain matin, Lynette arrive de très bonne humeur au bureau saluant Stu, puis Nina avec grandiloquence. Cette dernière demande à la voir dans son bureau pour parler de ce qu'elle a vu.
Lynette: - Eh bien, faire l'amour avec un employé... certains seraient virés pour ce genre de choses...
Nina essaye d'attirer la clémence de Lynette en lui indiquant qu'elles ont des différents mais qu'elles essayent toutes deux de s'en sortir dans ce monde vicieux gouverné par les hommes. Mais ça ne prend pas avec Lynette! Nina lui demande alors si elle veut une augmentation ou un bureau plus grand.
Lynette: - Ma demande est plus simple: je veux que vous soyiez plus gentille.
Nina: - Et en échange, j'aurais votre silence? Bien, je vais voir ce que je peux faire!
Lynette: - Super. Et je prend votre place de parking.
Nina se retourne, surprise.
Lynette: - Je plaisante Nina.

Gabrielle se réveille et découvre Carlos en costume, prêt à partir. Celui-ci a décidé d'aller à la messe tous les jours de la semaine. Soeur Mary-Bernard vient le chercher en voiture, elle klaxonne pour indiquer sa présence. Gabrielle regarde par la fenêtre et découvre une belle jeune femme blonde angélique très séduisante. Furieuse, Gabi confronte Carlos pensant qu'il a des vues sur elle.
Gabi: - J'ai vu ta religieuse. Elle est chaude. C'est une none chaude!
Carlos s'amuse de voir sa femme jalouse d'une religieuse. Gabrielle le regarde rejoindre Soeur Mary-Bernard avec laquelle elle échange un signe de le main hypocrite.

Lynette arrive au bureau, surprise de voir une vieille femme, Pat, remplacer Stu à la réception. Comprenant que Nina l'a renvoyé, Lynette lui indique qu'elle n'arrive pas à croire qu'elle soit tombée si bas. Nina prétend l'avoir renvoyé pour son incapacité et souhaite bonne chance à Lynette de prouver que ce n'est pas pour cela et lui indique qu'il va y avoir d'autres licenciements prochainement et qu'elle va devoir évaluer le travail de chaque collaborateur.
Lynette: - Vous me menacez?

Susan se présente chez Prudy pour travailler à la boutique, mais elle est bien trop qualifiée. Il accepte tout de même de la prendre à l'essai. Susan le regarde droit dans les yeux, et lui indique qu'elle regarde la couleur de ses yeux prétendant qu'ils sont aussi jolis que les siens.
Prudy: - Carol vous a envoyé me tester, n'est-ce pas?
Prudy pense que sa femme a engagé Susan pour tester sa fidélité. Alors Susan se décide enfin à lui révéler qu'elle est sa fille qu'il a eu avec Sophie Bremmer dans les années 60. C'est un coup de massue pour Prudy qui se retire dans la réserve, Susan le suit en lui indiquant qu'elle voulait simplement voir de quoi il avait l'air et le connaitre puisqu'ils vivent dans la même ville. Elle rentre dans la réserve et le retrouve inconscient.

Le docteur Goldfine est vivant. Bree est à son chevet à l'hôpital, lui ayant apporté un panier de muffins. Elle se confie à lui, indiquant qu'elle continue à voir des amis, à s'occuper d'oeuvres de bienfaisance, et qu'elle a rompu avec George. Bree demande au docteur s'il arrive à soigner tout le monde même ceux qui sont vraiment fous.
Bree: - Quand j'ai rompu avec George, j'ai vu quelque chose dans ses yeux.Quelque chose qui semblait impossible à guérir.
Goldfine: - Je ne crois pas au Mal.
Bree: - Comment ne le pouvez-vous pas? Un homme vous a poussé par-dessus un pont sans aucune raison!
Goldfine: - Exactement, pour aucune raison. Il ne me connaissait pas, il est arrivé sur son vélo bleu et a essayé de me tuer. Je pense qu'il était perturbé.
Bree reste bouche bée, comprenant tout à coup quelque chose de grave.
Bree: - Vous avez dit un vélo bleu??

Lynette reçoit Stu chez elle pour lui parler de son licenciement. Elle tente de lui faire comprendre que son renvoi n'était pas justifié et qu'il lui manque. Lynette lui avoue qu'il a été renvoyé parce qu'il a couché avec Nina et que cette dernière l'a viré pour empêcher Ed Ferrara d'apprendre ce qui s'est passé entre eux. Lynette lui indique que Nina n'aurait pas du coucher avec lui et que techniquement c'est du harcèlement sexuel. Elle lui conseille d'en parler à Ed et de demander à récupérer son poste. Que ce dernier acceptera car il sait qu'il risque d'être poursuivi pour des millions de dollars.

Susan rend visite à Prudy à l'hôpital. Il lui dit qu'il a le coeur fragile et que c'est génétique et donc elle risque un jour d'avoir le même problème. Prudy ne veut pas que Susan reste, sa femme va arriver et il ne veut pas lui dire qui elle est malgré le fait qu'il est heureux de l'avoir rencontré et qu'elle est une femme charmante. Susan s'apprête à partir, déçue, mais elle ne veut pas s'arrêter là. Elle souhaite le connaitre, prendre un café avec lui, un déjeuner de temps à autres... Mais Prudy ne veut pas faire ça à sa femme.
Susan: - Je veux apprendre à vous connaitre.
Prudy: - Eh bien moi je ne veux pas vous connaitre. J'ai déjà une famille. A l'époque, j'avais donné à votre mère une belle somme d'argent et elle a accepté de garder le silence . Je ne mérite pas d'être puni pour une erreur commise il y a des années!
Susan: - Alors c'est ce que je représente pour vous, une erreur?
C'est alors qu'arrive sa femme, qui indique à Prudy que les enfants sont sur la route. Et demande qui est la jeune femme à son chevet.
Susan: - Vous lui dites ou je le fais?
Mr. Prudy craint ce qui va se passer jusqu'à ce que...
Susan: Je suis l'ange gardien de votre mari.
Carol la serre dans ses bras et la remercie d'avoir sauvé son mari. Susan vient embrasser Prudy en lui disant qu'elle n'abandonnera pas puis s'en va.

George s'apprête à rentrer chez lui avec ses paquets de course lorsqu'il voit des voitures de police et des agents fouiller dans sa maison, certains emportant son vélo comme pièce à conviction. Ils prennent ses affaires. Affolé, George téléphone à Bree pour lui demande ce qui se passe, si elle a quelque chose à voir là-dedans.
Bree: - George, je sais ce que vous avez fais au Docteur Goldfine. Et je vois à quel point vous êtes malade. Rendez-vous et vous aurez l'aide dont avez vraiment besoin.
George raccroche et se met à courir le plus vite possible pour échapper à la police.

Gabrielle a invité Soeur Mary-Bernard à déjeuner ce qui étonne Carlos.
Gabrielle: - Tu as dis qu'elle avait touché ton âme alors je veux m'assurer que ses mains sont propres!
Pendant le repas, Gabrielle demande à la religieuse ce que ça fait de visiter des hommes en prison. Mary-Bernard indique qu'elle visite quelques autres prisonniers dans d'autres prisons mais que Carlos est spécial. Elle demande alors au couple s'ils sont impliqués dans des oeuvres de charité. Carlos y songe, pensant même qu'acheter continuellement de nouvelles choses ne rend pas leur vie meilleure.
Mary-Bernard: - L'argent ne fait pas le bonheur.
Gabrielle: - Bien sur que si !
Carlos a décidé de vendre sa voiture de sport pour donner l'argent à la paroisse de Mary-Bernard indiquant qu'une voiture suffit pour leur couple, ils partageront la voiture de Gabrielle.
Gabrielle: - (choquée) Partager?? On fait quoi si t'as besoin de la voiture et que je veux aller faire du shopping?
Gabrille commence à être effrayée par la tournure des évènements. Alors qu'il monte chercher la carte grise de la voiture, Gabrielle rejoint Carlos dans la chambre pour tenter de la convaincre de revenir en arrière. Pour cela, elle utilise la méthode qu'elle connait le mieux: le sexe!

Lynette arrive au boulot et découvre ses collègues en train de faire leurs paquets, certains en train de pleurer, d'autres se battre. Ed ne cesse d'appeler les gens dans son bureau pour les renvoyer. Ed appelle alors Lynette dans son bureau. Mais ce n'est pas pour la renvoyer. IL lui annonce que Nina est renvoyée, et qu'elle prend sa place. Elle est la nouvelle vice-présidente. Lynette demande ce qu'il s'est passé et Ed lui annonce que Stu a porté plainte contre l'entreprise pour harcèlement sexuel. Lynette est mortifiée. Ed a été obligé de virer des gens, Stu avait une vidéo de lui et Nina ensemble. Ed et Lynette vont être à présent partenaires. A sa sortie du bureau d'Ed, Lynette est accueillie par une Nina à moitié îvre, un verre de vin rouge à la main, la félicitant. Lynette indique à Nina que ce n'est pas ce qu'elle voulait, elle désirait simplement qu'elle soit plus sympa avec elle.
Nina: - Vous savez quoi? Avant j'étais gentille. Mais notre patron, enfin, votre patron, est incompétent. La gentillesse est quelque chose que j'ai abandonné en même temps que les vacances, les relations personnelles, et les diners à la maison!
Nina lui tend alors son verre de vin en lui disant qu'elle va en avoir bien besoin!

Gabrielle redescend à la salle à manger en peignoir, et Mary-Bernard est toujours là (la conne! lol) lui indiquant que Carlos et elle ont eu une intense discussion.
Mary-Bernard: - Oui j'ai entendu un peu de votre... conversation!
Gabrielle: - Oui, carlos est si animal!!
Gabrielle décide alors qu'il est temps d'avoir une conversation franche avec la soeur. Elle l'emmène dehors et lui dit que Carlos et elle ont besoin de se retrouver et que ce serait mieux pour leur couple si elle cessait de le voir, de lui parler de religion et de charité.
Mary-Bernard: - Non.
Gabrielle: - Comment ça, non?
Mary-Bernard indique alors à Gabrielle que Carlos est un diamant à la recherche de quelque chose en quoi vraiment croire. Elle lui dit également que Carlos veut être un homme meilleur et que ce n'est pas possible avec une femme matérialiste et infidèle.
Mary-Bernard: - Tant qu'il sera avec vous, il ne trouvera pas ce qu'il recherche vraiment.
Elle indique clairement sa volonté de le voir se séparer de Gabrielle, choquée de voir une none comme ça!
Gabrielle: - Si vous essayez de vous mettre entre mon mari et moi, je vais vous détruire
Mary-Bernard: - J'ai grandit au sud de Chicago, si vous voulez m'effrayer, il va falloir faire mieux que ça...
Gabrielle: - Ecoutez moi bien, petite garce, vous ne voulez pas me déclarer la guerre
Mary-Bernard lui rit au nez, indiquant qu'elle a ses propres armes!

George est dans une chambre d'hôtel. Le groom frappe à sa porte. George l'a fait venir parce que son amie Bree Van de Kamp préside la charité qui se déroule en ce moment même dans une salle de l'hôtel. Il lui tend une lettre pour la donner à Bree et le paye pour l'appeler si elle monte dans l'ascenseur. Ce que le groom fait. Bree lit la lettre sur laquelle on peut lire: "Bree, je ne peux pas vivre sachant que vous pensez que je suis un homme mauvais. J'ai avalé des pilules. Si vous pouvez me faire une dernière faveur, s'il vous plait venez me dire adieu. Je suis dans la chambre 617. George."
Bree décide alors d'appeler l'inspecteur pour lui indiquer que George est à l'hôtel, mais l'inspecteur lui indique qu'il allait l'appeler également pour lui annoncer quelque chose. Il a reçu des preuves selon lesquelles George Williams est responsable de la mort de son mari, Rex. Ils ont découvert les prescriptions de la pharmacie qui ont été modifiées par des pilules de potassium. Bree est sous le choc et raccroche immédiatement, comprenant que George a assassiné Rex. 
Bree se dirige vers l'ascenseur, dans lequel elle entre. Le groom prévient alors George. Ce dernier, sur que Bree va venir le sauver, commence tout juste à prendre des médicaments. Une par une.
George: - (avalant une pilule) Elle m'aime... (avalant une autre) Elle ne m'aime pas... (avalant une autre) Elle m'aime... 
Dans l'ascenseur, Bree est mortifiée, bouleversée par la révélation de la véritable raison de la mort de Rex. Elle regarde son reflet dans la porte de l'ascenseur, les bras croisés, et se met à frapper de toutes ses forces sur la porte en pleurant tandis que George continue à avaler les pilules dans sa chambre d'hôtel par poignées, espérant être sauvé par Bree très vite. Mais celle-ci bloque l'ascenseur, déclanchant l'alarme et reste assise dedans, prostrée dans un coin, le regard perdu dans le vague... détruite par ce qu'elle vient d'apprendre.
George est allongé sur le lit, les médicaments commencent à faire leur effet. Il regarde sa montre et Bree n'est toujours pas là. Comprenant qu'elle ne viendra pas, il commence à appeler la réception en indisuant avoir prit des médicaments par erreur et qu'il faut appeler une ambulance jusqu'à ce qu'on frappe à sa porte. George, certain que c'est Bree, indique à la réception que c'est une fausse alarme et raccroche. La porte s'ouvre. C'est Bree. Elle remarque qu'il a prit des pilules pour tenter de se suicider. George lui dit qu'il ne peut pas vivre en sachant qu'elle pense qu'il ait tenté de tuer le Dr Goldfine. Les pilules continuent de faire leur effet. Bree s'approche du lit.
George: - Peut-être je ne mérite pas de mourir. Je peux affronter la police, tant que vous êtes là pour moi.
Bree: - Je vais appeler une ambulance et ils laveront votre estomac.
Bree prend une chaise et s'assoit près du lit où George est allongé, comateux.
Bree: - Je voudrais vous aider, mais pour cela il faudrait que je vous pardonne. Et je ne peux pas faire ça tant que vous n'admettez pas ce que vous avez fait.
George: - (faible) Je n'ai pas poussé Goldfine.
Bree: - Si, vous l'avez fait mais ce n'est pas ce dont je parle. Vous avez tué Rex. Je sais que ce n'était pas entièrement votre faute parce que vous n'êtes pas bien alors si vous êtes honnête avec moi, je peux vous pardonner. Ce serait la plus horrible chose que j'aurais jamais faite, mais je le ferai. Mais vous devez me dire la vérité.
George: - Je ne vais pas bien du tout. Vous devez appeler quelqu'un.
Bree: - Pas tant que vous n'admettrez pas ce que vous avez fait.
George: - Je vous aime. Tout ce que j'ai fais, je l'ai fais pour vous. Parce que vous le vouliez aussi. Vous savez que vous le vouliez aussi...
George ferme les yeux, ayant du mal à respirer. Bree reste prostrée sur sa chaise.
George: - Appelez une ambulance...
Bree: - Je les ai appelé, ils sont déjà en chemin...
George regarde Bree en souriant avant de fermer les yeux et de s'endormir tandis que Bree émet une larme en le regardant mourir.

Mary-Alice: - Ce n'est pas toujours aussi simple de dinstinguer les bonnes personnes des mauvaises. Les pecheurs peuvent vous surprendre. (Carlos lit la bible à genoux et fait sa prière). Et la même chose est vraie pour les saints (Mary-Bernard fait sa prière et éteint sa bougie avec ses doigts) Pourquoi essayons-nous de définir les gens en les qualifiant simplement de bons ou de méchants? (Nina est en larmes en débarassant son bureau) Parce que personne ne veut admettre que la compassion et la cruauté peuvent vivre côte à côte dans un coeur (Carol est au chevet de son mari). Et tout le monde est capable de tout... (Bree quitte la chambre d'hôtel après que George soit mort)



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